Nalya, Nouveau Clip, "Pour Que je signe"

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Écrit par Kamelot

Catégorie : Evènements

Publication : 15 avril 2020

Affichages : 21891

En aout 2019, nous vous présentions le dernier album de Nalya, 'La folie des candeurs". Un album où notre artiste semble plus affirmée et plus combattante.

 

 

Nalya revient avec un clip sur un titre que j'avais particulièrement apprécié, "Pour que je signe". Le titre écrit par Nalya et composé par Lotfi Bouziane est mis en lumière par Benjamin Autriche, qui réalise les clips de Marwa Loud, La Fouine... Ce clip nous montre la lassitude d'un couple, l'amour qui s'use par l'indifférence, la routine qui s'installe, la complicté et le bonheur perdu... Mais surtout à ne pas reproduire, surtout dans cette période de confinement, il faut user d'imagination, garder le sourire...

 

 

On vous laisse découvrir, et n'hésitez pas partager si vous aussi, vous aimez...

 

http://nalya.fr/

  

 

 

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Daniel Pearson, "Brother".

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Écrit par Kamelot

Catégorie : Nouveautes

Publication : 14 avril 2020

Affichages : 13480

Une nouveauté sur laquelle on ne pouvait pas passer : "Brother" de Daniel Pearson.

 

 

Après avoir été acclamé par la presse et la radio et plus de 6 millions de flux Spotify pour ses singles ces dernières années, l'auteur-compositeur-interprète Daniel Pearson est de retour avec une nouvelle chanson bluesy et pleine d'émotions. Brother est propulsé par un rythme de batterie en plein essor influencé par le hip-hop, des riffs de guitare volumineux et le croon granuleux de Pearson.
Après une série de sorties fortes présentant une compréhension atmosphérique de l'écriture de chansons acoustiques en mouvement, Brother permet à Pearson de fléchir ses muscles rock classiques et de s'étendre à un son plus dur sans sacrifier l'attrait fondamental de son authenticité américaine et de son oreille par un crochet pop.

Avec une base de fans fidèles sur le streaming, les médias sociaux et la presse rave du monde entier, Daniel Pearson est un artiste numérique du 21e siècle imprégné de culture analogique. Sur la couverture de ses albums, les écrivains pour Uncut Magazine, PopMatters, Baeble Music et plus ont rapidement loué l'écriture de chansons intemporelles et de paroles poétiques qui s'inspirent des influences classiques du rock, de la country et du grunge. Ses chansons ont également été diffusées sur BBC Radio 2, BBC 6Music, BBC Scotland et BBC Wales et présentées dans des émissions de télévision du monde entier.

«Les gens ont tendance à me considérer comme cet auteur-compositeur-interprète calme et sensible, mais j’ai fait mes débuts dans des groupes rock et punk et j’ai toujours aimé les riffs de guitare forts et les gros sons de batterie», explique Pearson. « Dans 'Brother', c’est moi qui m’exprime, et ça m'a poussé à jouer tout sur le disque et c'était un défi cool. Il est bon de changer les choses – Lyriquement, c’est une sorte d’appel à une unité, aussi difficile que cela puisse paraître dans notre climat actuel et malgré toute la division et l’enracinement ; à un moment donné, nous allons devoir mordre la balle et trouver un terrain d’entente.» Explique Daniel à propos de son titre 'Brother'.

 

  

 

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Slang, "Naked"

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Écrit par Kamelot

Catégorie : Nouveautes

Publication : 14 avril 2020

Affichages : 18009

Une nouveauté rap, mais comment ne pas écouter cette mélodie, "Naked", le dernier titre de Slang ?

 

 

Slang est rappeur, producteur et auteur-compositeur, vous pouvez le retrouver sous le nom de Dare Dare.

Slang vient de la périphérie ouest de Londres, à la fin des années 90 Southall a naturellement influencé Slang. Cet environnement a souffert d'une épidémie d'héroîne qui a gâché le potentiel de sa jeunesse, c'est de cette période dont Slang va s'inspirer pour offrir sa propre vision musicale.

Il puise son inspiration dans sa vie, difficile pour sa mère qui a "l'une des vies les plus difficiles que vous puissiez imaginer, mais elle est l'une des personnes les plus heureuses et pétillantes que vous puissiez connaître", tandis que son père était en prison, vous aurez compris qu'il est loin d'une éducation exemplaire. "Les luttes de chacun sont relatives et tout le monde a des problèmes", explique SLANG, présentant une perspective très différente de ce qu'il aurait eu à l'adolescence. "Il ne s'agit pas de se sentir désolé pour vous-même, mais de reconnaître qu'il peut y avoir de l'espoir au bout du tunnel.". Malgré l'ambiance sociale qui l'entoure, Slang est l'un des rares jeunes à ne pas se retrouver en prison, et commence à chanter avec le collectif Gritty Committee dans les studios de la radio pirate Freeze 92.7.

Peu à peu, SLANG passe de la scène underground à l'industrie musicale via une succession d'aventures folles avec Wiley, qui a culminé avec sa première sortie en tant que producteur avec 'Bright Lights', une collaboration entre Wiley, Giggs et Roc-A-Fella le rappeur Juelz Santana.

Sous le nom de Dan Dare, SLANG a élargi ses horizons pour travailler avec des artistes grand public ainsi qu'avec des personnes issues du même environnement que le sien: Marina & The Diamonds, Charli XCX et WSTRN pour ne nommer que ceux-là. Au début "j'étais définitivement un poisson hors de l'eau. Je ne savais pas comment écrire ou structurer des chansons, j'étais juste un beat maker. Mais je crois qu'avec la musique, c'est toujours la force de l'idée." admet-il après ces quelques années d'expérience.

Anxieux à chaque opportunité qui s'offre à lui, Slang commence à se faire connaître. Sa carrière prend un tournant après ce commentaire : "le cerveau des auteurs-compositeurs fonctionne totalement différemment des rappeurs. C'est comme le paradis et l'enfer parce que les rappeurs écrivent avec des mots plutôt qu'avec de la mélodie, alors qu'avec les chanteurs, il s'agit plus de la mélodie que de ce qu'ils disent."

Pendant cette période, SLANG a adopté une approche de caméléon en adaptant des paroles au style de l'artiste avec lequel il travaille. Malgré son succès, il reste en proie à des échos de son passé: un comportement erratique, des drogues et une incapacité générale à gérer ses émotions. Ses problèmes de santé mentale sont une bataille, il fait une thérapie qu'il complète en écrivant des chansons sur ses propres expériences. "C'est la chose la plus libératrice qui soit," sourit-il, "et c'est vraiment bon pour mon âme."

les titres de Slang peuvent être libérateurs, des instants qui évoquent des moments difficiles, des histoires sur l'anxiété, de la dépendance, des remontées d'un passé cahotique. Une obscurité qui résonne dans ses titres citant des personnes dont c'est le quotidien ; malgré cette musique sombre Slang arrive à y mettre des sourires et des côtés amusants par sa magie d'écriture.

L'opposition entre la narration personnelle parfois très dure de SLANG et ce jeune homme férocement optimiste d'aujourd'hui est le contraste qu'on retrouve dans son premier single: `` Yay (You Alright, Yeah?) ''.
Ses couplets traitent du dysfonctionnement des famiilles dans lesquelles lui et ses amis ont été élevés, mais le refrain montre à quel point il est important pour les jeunes de discuter de leurs sentiments et émotions en se posant régulièrement la question : "Ça va, ouais ?"

 

 

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Haig, "Did I Just Make You Smile ?"

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Écrit par Kamelot

Catégorie : Coup de coeur

Publication : 13 avril 2020

Affichages : 27236

 Un coup de coeur particulier pour ce titre dédicacé aux services hospitaliers et de secours, le groupe Haig nous offre un titre rock "Did I Just Make You Smile ?" (T'ai-je juste fait sourire ?)

 

 

HAiG est le fils de Billy Bibby anciennement de CATFISH & THE BOTTLEMEN, WRY SMILES et NEW YORK TOURISTS. Ce qui décrit le mieux HAiG est un son rock n'roll explosif et mélodieux avec une touche de saveur alternative. La formation HAiG est complétée par Carl Rutherford et Joe Mooney qui apportent chacun une quantité incroyable d'expériences et permet ainsi au groupe une approche musicale authentique pour un rock nouveau et décalé. Le groupe vient de signer avec Golden Robot Records U.K. Rock Act.

Ce nouveau single "Did I Just Make You Smile ?" est un rock mélodieux, complexe et réalisé pour la radio. C'est un mélange d'influences, vous y retrouvez du British Rock au meilleur du rock classique dans une ambiance Indie progressive : "Cette chanson a commencé comme une idée alors que je conduisais tard dans la nuit en écoutant la chanson de Mumford & Sons Tompkin Square Park", explique Bibby, "Maintenant, je ne suis pas un grand fan de Mumford, mais cette chanson est un chef-d'œuvre et une chanson de conduite de nuit. C’est ce qui m’a inspiré en écrivant Did I Just Make You Smile?, Et j’aimais plus que tout l’atmosphère créée lors de la conduite et de l’écoute du rythme de la batterie, droit mais unique. »

Bibby poursuit : «J'ai pris tout cela en considération lors de l'écriture car je ne voulais pas forcer cette chanson de la même manière que d'habitude, alors j'ai juste commencé à écrire des paroles pour accompagner la musique. Au niveau des paroles, il s’agit principalement d’une relation récente dans laquelle j’ai été, mais j’aime toujours que les mots signifient ce qu’ils peuvent signifier pour quiconque et qu’ils soient liés à ceux qui ont vécu des situations similaires. »

La chanson a pris un tout nouveau souffle lorsque Bibby l'a apportée à son groupe.  La version de base acoustique qu'il a écrit s'est bonnifiée lorsque chacun des membres du groupe y a apporté sa patte personnelle. « C'est là-haut dans les nuages ​​que je peux chanter cette chanson du fond du cœur et à chaque fois que nous la chantons en direct », explique Bibby.

L'expérience de Billy avec Catfish & The Bottlemen aux côtés de Carl, ainsi que l'expérience de Joe sur la scène musicale ont donné à HAiG une sensation mondaine instantanée.